joris Abadie
De citer les choses nous les définissons. En ces termes, j'entends que nous discutons avec nous même (nous raisonnons) en utilisant un langage, et nous discutons avec les autres en utilisant toujours les limites du langage utilisé. De ceci nous pouvons conclure que le fait d'utiliser un langage de zombie, ne peut permettre de parler science, et encore moins de comprendre le sens des textes se trouvant sur ce site. Mais comme l'application fait force de loi, et que j'ai créé le format audio abadie.jo ainsi que la carte audio linux sur les concepts que j'ai présenté en ce lieu, je peux revenir souligner l'importance du texte original pour redire en d'autres mots comment je développe l'esprit des sciences pour arriver à développer les applications et découvertes sur les lois des ondes audio. Je ne crois pas savoir, je ne crois pas avoir la meilleur technique pour toujours, mais j'ai la meilleur technique du moment, une technique qui est sans comparaison à toutes celles utilisées aujourd'hui. Mais il faut jamais perdre du vue que ce texte n'est la que pour partager une proposition d'information, une technique, de manière à ce que de nouvelles techniques puissent naitre. Pour construire à l'aide des boucles de réactions que je présente depuis des années, j'ai en premier repris le sens originel du terme mathématique, (l'art d'apprendre à apprendre, donc de modéliser), je l'ai présenté à l'outil qui allait l'utiliser (les possibilités de raisonnement du cerveau et ses limites), je l'ai donc adapté au fait que trop d'informations tuent l'information car le cerveau est limité dans son nombre d'opérations simultanés. J'ai ainsi éliminé tous les concepts et informations inutiles de manière à pouvoir obtenir une compréhension optimale. Ensuite, dans les ressources disponibles, j'ai cherché la technique d'association d'idées qui était la plus adaptée aux observations et mesures réalisées sur les lois des sons. Ainsi j'ai développé mon prope système mathématique, mon propre langage informatique, soudé les composants électroniques de manière à obtenir ma propre technologie. Je travaille actuellement sur la version 3.02, elle est presque finie. Description du système. Je n'utilise pas un outil destiné à tout, car il est par la même destiné à rien, ainsi les symboles sont destinés à chaque cas, en appliqué cela donne qu'en début de fichier audio nous allons avoir à chaque fois une valeur repère de base différente qui ne pèsera qu'un seul bit en écriture, et une règle exponentielle d'écriture différente pour chaque cas qui se construit en mode complément (bien plus léger qui si nous utilisions l'algèbre qui porte la lourdeur de tous les cas possibles, c'est comme pour le cerveau que j'explique au début, il ne faut pas chercher des absolue ou chercher à pouvoir écrire des informations qui n'existe pas). Exemple de mode complément : la variation des temps dépend du passage musicale modélisé en exemple sur [exp(base)]/base : un bit position haute égal une fois la valeur ; deux bits position haute égal trois fois la valeur ; trois bits position haute égal sept fois la valeur; 4 bits position haute égal 14 fois la valeur ; 5 bits position haute égal 30 fois la valeur ; 6 bits position haute égal 67 fois la valeur; 7 bits position haute égal 157 fois la valeur ; 8 bits position haute égal 373 fois la valeur ; 9 bits position haute égal 900 fois la valeur La technique de la carte audio linux c'est que nous pilotons cinq facteurs à l'aide de trois facteurs en faisant en sorte d'avoir de simple bit (position haute ou basse, un tout ou rien de la technologie d'aujourd'hui) pour reproduire les interactions analogiques. En exemple, selon comment nous introduisons des silences dans le son « A » donc avec seulement 3bits associé à une fonction boucle 6bits (voir doc du format audio) nous créons le son « TA », j'ai mis une vidéo sur la toile qui le montre et je donne l'application et les codes des sons pour pouvoir tester.