RAPPORT ENTRE LE CERVEAU ET LA PHILOSOPHIE

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Ce texte est en évolution, il manque plusieurs écrits que je vais bientôt rajouter. Il est une étape dans l'expression d'une entitée, ayant ces propres lois, composée de trois personnes : clement Soullard
florian Minici
pierre Andre



l'observation, l'expérimentation et l'induction

l'observation
Les six sens.
Mécanisme de la sensation.
Quoique la sensation soit un phénomène essentiellement psychologique, puisque nous en avons conscience, elle n'a lieu cependant qu'à de certaines conditions physiques et physiologiques, qui peuvent se ramener à trois principales :
1° Les objets extérieurs agissent soit immédiatement ( tact, goût ), soit par l'intermédiaire d'un milieu ( odorat, ouie, vue, pensée ) sur les organes des sens. Absence d'organe, absence de sensation.
2° L'action exercée sur les extrémités des nerfs qui aboutissent aux organes se transmet dans tout le parcours des nerfs qui font communiquer les organes avec le cerveau. En effet, toute lésion des nerfs interrompt ou altère la sensation.
3° L'action se communique aux centres, soit à l'encéphale, soit à la moelle, qui la transmet elle-même à l'encéphale. En effet les lésions des centres peuvent empêcher la sensation, malgré l'état sain des nerfs ou des organes. Telles sont les conditions communes à toutes les sensations : nous n'indiquerons pas le mécanisme particulier qui leur appartient ceci étant d'un autre domaine de spécialiste en physiologie.
a : Définitions :
1° : idée ; 2° : pensée ; 3° : Lois universelles applicables sur la pensée accélérée et la matière.
1° : idée :
L'idée est une sorte de matériel qui est le support d'assertion, car une idée en soit, n'a pas à se justifier par la pensée. Si j'ai une idée du genre, les animaux sont de la couleur de ce qu'il mange, c'est une idée, elle peut être vraie, comme elle peut être fausse, à ce stade, ce n'est pas ce qui nous intéresse, la seule chose que je sais c'est qu'elle existe et j'allais dire qu'elle s'énonce clairement, pourtant.. Comme nous sommes des humains, nous avons tendance à dire que si on a une idée il faut pouvoir l'exprimer. Pourtant, les animaux aussi ont des idées, par exemple un chien qui cherche à s'échapper du jardin pour aller voir la chienne voisine je vous garanti qu'il a des idées ! Pour rester général il vaut donc mieux dire que l'idée doit avoir cette propriété d'être mémorisable. Toute idée qui n'est pas mémorisable n'en est pas une.
2° : La pensée :
La pensée selon sa qualité est un système qui me permettra de dire si j'ai cette idée et si cette idée est vraie alors les vaches devrait être vertes parce qu'elles mangent de l'herbe. Alors mon idée est probablement fausse...
Sous les aspect de la mémoires, je dirai dans l'absolu que la pensée n'a pas de mémoire. Quand une idée est fausse, elle est moins utile (Elle fait faire des erreurs, aussi peut-être sort-elle de la mémoire.
La mémoire c'est un stock d'idées qui peuvent avoir été élaboré ou pas par la pensée.
La pensée d’autrui est une idée.
Les jeu de mots pensée, idée :
En écrivant ceci, il me vient une réflexion en comparant les deux expressions "avoir une pensée" et "avoir une idée". Quand on dit que quelqu'un a eu une idée il n'a pas forcément réfléchit.
Quand quelqu'un a une pensée c'est un raccourci pour dire, il a réfléchit et puis il a eu une idée. En raccourci je définirai
- La pensée comme un système d'inférence entre les idées (nouvelle ou se trouvant dans la mémoire)
L'idée comme un matériel brut, imprévisible mais qui peut se confronter en inférence avec d'autre idée pour déduire si elle est cohérente ou pas.
3° : Lois universelles applicables sur la pensée accélérée et la matière.
3a : La matière attire la matière ( effet venturie ), la pensée attire les idées.
3b : Un phénomène crée un autre phénomène qui va entretenir et accélérer le premier phénomène. Système décrit sur un mémoire sur un canal d’eau de 1993. La pensée attire ou crée des idées qui vont l’entretenir et l’accélérer.
3c : Pendant l’étude des interférences avec photons ou autres particules comme on le sait depuis un an. Quel que soit le parcours effectué les particules arrivent au même endroit. L’application de la loi à la pensée donne quel que soit les idées ou le cheminement de la pensée, de nombreux philosophe sont arrivés sur certains points au même point qui représente une pensée universelle.
b : Le goût, les sensations sont douces ( le sucre, le lait ), amère ( la quinine, la gentiane), acides ( le vinaigre ), ardentes ( les liqueurs fortes ), etc. ; mais ces distinctions sont très insuffisantes pour exprimer le nombre considérable de saveur que peuvent produire les différents aliments ou boissons.
c : L'ouie, On peut distinguer dans le son différents points de vue :
1° la qualité ; 2° l'intensité ; 3° le volume ; 4° la tonalité ; 5° le timbre.
d : La vue, la vue en noir et blanc, la vue en couleur, après une forte excitation lumineuse on ne voie plus qu'en noir et blanc.
e : Le tact, le toucher peut être doux, chaud, soyeux…
f : L'odorat, les arômes sont multiple comme pour le goût.
g : La pensée.
Ceci étant la proposition effectué, je suis passé rapidement sur les cinq premier sens, pour mieux me consacrer à la proposition. Comme il est dit dès le début l'aspect physiologique est un autre sujet et je rajoute que ce texte ne cherche pas à savoir qui ou ce qui active ce sens.
g1 : On peut distinguer dans la pensée différent point de vue : 1° la qualité, 2° l'intensité, 3° la quantité.
g2 : Il est possible d'augmenté les possibilité de ce sens à l'aide d'outil appelé les idées.
g3 : La pensée étant un sens, est en permanence en éveil, ce qui explique les rêves.
g1-1 : Je pense qu'il existe trois qualités. La première est sans réflexion, en exemple un être conditionné. La deuxième est animal basé sur la comparaison, en exemple un animal qui compare deux trajets pour savoir lequel il va emprunter. La troisième est caractéristique de l'homme est fait intervenir le plus haut niveau de réflexion, en exemple la création des textes des Droits de l'Homme de 1789.
g1-1-1 : Une pensée répétitive saturante est le plus bas niveau de pensée.
g1-1-2 : Les pensées liées aux autres sens sont des pensées d'ordre animal.
g1-1-3 : Détail sur l'origine d'une pensée accélérée. L'origine d'une pensée obéit à la loi de l'origine que j'ai décrit sur mon mémoire de 1993 pour un phénomène physique : une pensée apparaît provocant une nouvelle pensée qui entretient et amplifie la première pensée.
g1-2 : Il existe plusieurs niveaux d'intensité, les pensées les plus intenses entraîne un autre mécanisme du cerveau qui a ses propres lois : la mémoire.
g1-3 : Il arrive que les pensée nous submergent et crées ce que nous appelons des émotions. Il n'est pas rare que les personnes confondent l'intensité avec la quantité, bien que ces deux qualités soient totalement différentes.
g2-1 : l'usage des idées, les principales règles sont celle-ci :
g2-1-1° l'observateur doit connaître ses idées, par exemple, savoir exactement quel est la qualité qui l'influence ( g1-1 )
g2-1-2° il doit chercher à se les rendre le plus commodes en les appropriant par quelques corrections à l'usage auquel il les destine ;
g2-1-3° il doit les vérifier ; et il doit connaître enfin et apprécier les erreurs dont elles sont susceptible.
g2-2-1 : Il existe des idées qui rapprochent la pensée éloignée.
g2-2-2 : Il existe des idées qui agrandissent les pensées.
g2-2-3 : Il existe des idées qui permettent de déclencher la mémoire pour mémoriser la pensée.
g2-2-4 : Il existe des idées qui permettent de ce concentrer sur une pensée.

l'expérimentation

a : On remarque a l'utilisation que les pensée accélérées vont avoir plusieurs caractères dont les principaux sont : les pensées spécifiques :
a 1-1 : la pensée éclatante, c'est une pensée évidente par exemple je pense donc je suis ;
a 1-2 : la pensée clandestine, c'est une pensée qui est diffuse mais qui permet la cohérence sans apparaître vraiment ;
a 1-3 la pensée repaire ou collective, c'est une pensée dans laquelle ont retrouve d'une manière claire des lois qui régissent plusieurs autres pensées.
a 1-4 : la pensée cruciale, c'est l'une des plus importante car elle est à la croisé des logiques, sachant que lorsqu'on entame une logique il est très difficile voir impossible d'utiliser une autre logique.
a 1-5 : la pensée fugitive, c'est une pensée qui varie selon l'état, elle est intéressante car elle nous indique l'état dans lequel nous sommes ;
a 1-6 : la pensée limitrophe, c'est la pensée charnière entre deux pensées.
a 1-7 : la pensée solitaire, comme sont nom l'indique elle s'auto suffit et est indépendante.
b : On remarque encore à l'utilisation que pour qu'un dialogue puisse être établit, il faut utiliser deux pensée de qualité identique. En exemple il est inutile d'utiliser les arguments d'une pensée haute à une pensée de bas niveau, ou encore de raisonner un être pleinement conditionné.
c : De l'expérience on remarque encore que les pensées étant bornées dans leur usage, l'âme (ou ce que vous voudrez ) a trouvé le moyen de les prolonger ou de les compléter par le moyen des idées.
Par la pensée accélérée, on tient note des idées les plus rapides et les plus délicates. Ainsi les pensées sont centuplés par la réflexion, et peuvent arriver à la dernière précision ; de plus, chacun peut se créer à lui-même des idées nouvelles pour l'ordre particulier des pensées qu'il se propose.

l'induction du texte précédent.

a°: chaque animal pouvant dépassé le stade d'un raisonnement comparatif est un être humain. En d'autres mots la caractéristique de l'homme est l'utilisation d'une pensée de qualité accélérée.

Autres induction et expérimentation personnel

1° : Il est impossible de lire la pensée accélérée d'une autre personne, donc chaque homme possède sa propre pensée qui lui est inaliénable. De fait, on peut dire que chaque personne est unique et possède ses propres pensées et dès qu'elle en prend conscience et qu'elle se protège, elle devient maître de ses pensées. La richesse des idées fait que chaque personne est une entité qui a le degré de liberté qu'elle s'accorde. je pense que cette prise de conscience ne peut avoir lieu que dans l'application d'une pensée accélérée.
2°: chaque science possède ses propres lois. Donc chaque système, chaque homme, chaque évènement, chaque pensée possède son propre temps qui n'est analysable que par rapport à lui-même.
3° : ( l'amour ) paternel ou habitude conditionnée est un caractère que l'on trouve sur plusieurs espèces animales.
4° : la recherche de compagnie ou d'une présence est un caractère animal.
5° : chaque évènement doit être analysé par rapport à son origine et sa fin ou équilibre.
6° : chaque événement à sa propre base de temps, ceci est un axiome du 1
7° : le bonheur ou la pensée ne doit pas être dicté par qui que se soit sous peine de perdre votre caractère essentiel d'être humain donc pensant.
8 : Il existe plusieurs niveaux de logique qui utilise le même outil, mais qui ne sont pas compatible. Le premier niveau étant basique au sens péjoratif, je le défini comme reptilien, ou conditionné. Le deuxième niveau correspond à l'animal avec son aspect de compromis et d'échanges, sa voûte est le système comparatif. En troisième c'est la logique qui utilise la méthode expérimentale à l'aide de la pensée accélérée.
9 : Je pense que l'entretien du corps est indispensable mais ce n'est pas un but dans la vie ; je pense que comparer et échangé les richesses que l'on crée est indispensable, mais ce n'est pas un but dans la vie; je pense qu'utiliser une pensée accéléré nous permet d'avoir l'attention sur ce qui est, et avec réflexion, concevoir, juger et raisonner. Dans cette logique on observe ce qui est et ce qui apparaît, il ni a pas de comparaison. Une des lois de cette logique est d'observer les objets, et les choses qui les concernes, ce qui implique qu'à aucun moment on ne peut y intégrer une logique comparative, sous peine d'incohérence.
10 : Le terme pensée comme je l'ai présenter dans le texte est un sens qui peut se développer de trois manières différentes, et en particulier la troisième étant l'accélérée peut encore se développer de trois manière à savoir : concevoir; juger, et raisonner.
Maintenant à la réponse pourquoi ceci c'est produit chez ces personnes et pas chez tous le monde, je pense qu'il y a plusieurs réponses possibles, dont une directement induite par la réponse de Clément. Quant à l'intensité seul l'observation de tous ce qui rentre en jeu pour chacun, nous permettra d'identifier les lois.
11 : A la question que dois-je inscrire au départ, la réponse est donné par clément avec un petit rajout de ma part sur la loi qu'on retrouve en physique : Ce que je dis c'est qu'on à pas n'importe quelles idées à n'importe quel moment (donc attraction sur un faisceau susceptible d'idée), pourtant elles sont imprévisibles (chaotique). On peut donc dire d'une idée qu'elle naît d'un environnement et en même temps qu'elle a cette propriété d'être imprévisible. En remarque , ceci rejoint encore une loi de la matière qui est la matière attire la matière, en exemple un courant d’air attire l’air qui est autour ( on le remarque quand une porte se ferme ) et cet air attiré amplifie le volume d’air du courrant d’air donc amplifie et accélère le courrant d’air. Mais on remarquera comme pour les idées, il faut qu’il y ai quelque chose à attirer. D'ailleurs comme tu le dis ( sans notion, pas d'inspiration ) donc il faut bien qu'il y ai quelque chose qui excite la pensée, cette pensée est là, même étant très faible, peu ou pas perceptible, et en reprenant la loi des idées de clément, celle ci est accélérée et amplifiée par les idées.

l'observation, l'expérimentation et l'induction

1° Observations :
a : Quant à l'usage des idées, les principales règles sont celle-ci :
1° l'observateur doit connaître ses idées, par exemple, savoir exactement quel est l'influence de son cerveau a :reptilien, b :animal comparatif ( matérialisme ), c : ou évolué ;
2° il doit chercher à se les rendre le plus commodes en les appropriant par quelques corrections à l'usage auquel il les destine ;
3° il doit les vérifier ; et il doit connaître enfin et apprécier les erreurs dont elles sont susceptible.

b : Je pense que la pensée est un sens et les idées sont ses outils. La principale difficulté est qu’il existe différentes significations accordées au mot « pensée », ce qui mérite tout notre éveil et notre attention.
les pensées spécifiques :
1° : la pensée éclatante, c’est une pensée évidente par exemple je pense donc je suis ;
2° : la pensée clandestine, c’est une pensée qui est diffuse mais qui permet la cohérence sans apparaître vraiment ;
3° la pensée repaire ou collective, c’est une pensée dans laquelle ont retrouve d’une manière claire des lois qui régissent plusieurs autres pensées.
4° : la pensée cruciale, c’est l’une des plus importante car elle est à la croisé des logiques, sachant que lorsqu’on entame une logique il est très difficile voir impossible d’utiliser une autre logique.
5° : la pensée fugitive, c’est une pensée qui varie selon l’état, elle est intéressante car elle nous indique l’état dans lequel nous sommes ;
6° : la pensée limitrophe, c’est la pensée charnière entre deux pensées.
7° : la pensée solitaire, comme sont nom l’indique elle s’auto suffit et est indépendante.

c :
1° : chaque homme possède sa propre pensée qui lui est inaliénable.
2°: chaque science possède ses propres lois.
3° : chaque système, chaque homme, chaque évènement, chaque pensée
possède son propre temps qui n'est analysable que par rapport à lui-même.
4°: chaque animal pouvant dépassé le stade d'un raisonnement comparatif est un être humain.
5° : ( l'amour ) paternel ou habitude conditionnée est un caractère que l’on trouve sur plusieurs espèces animales.
6° : la recherche de compagnie ou d'une présence n'est pas spécifique à l'homme.
7° : les idées sont misent en valeurs par la pensée.

2° Expérimentation :

a : Les pensées étant bornées dans leur usage, l'âme (ou ce que vous voudrez ) a trouvé le moyen de les prolonger ou de les compléter par le moyen des idées.
Par la pensée consciente, on tient note des idées les plus rapides et les plus délicates. Ainsi les pensées sont centuplés par la réflexion, et peuvent arriver à la dernière précision ; de plus, chacun peut se créer à lui-même des idées nouvelles pour l'ordre particulier des pensées qu'il se propose.

b : Personne ne peut lire les pensées d'autrui, chaque personne est unique et possède ses propres pensées et dès qu'elle en prend conscience et qu'elle se protège, elle devient maître de ses pensées. La richesse des idées fait que chaque personne est une entité qui a le degré de liberté qu'elle s'accorde. je pense que cette prise de conscience ne peut avoir lieu que dans l’application d’une méthode expérimentale.

c :
1° : chaque évènement doit être analysé par rapport à son origine et sa fin ou équilibre.
2° : chaque événement à sa propre base de temps, ceci est un axiome du 1
3° : le bonheur ou la pensée ne doit pas être dicté par qui que se soit sous peine de perdre votre caractère essentiel d'être humain donc pensant.

3° Inductions :

a : Il existe plusieurs niveaux de logique qui utilise le même outil, mais qui ne sont pas compatible. Le premier niveau étant basique au sens péjoratif, je le défini comme reptilien, ou conditionné. Le deuxième niveau correspond à l’animal avec son aspect de compromis et d’échanges, sa voûte est le système comparatif. En troisième c’est la logique qui utilise la méthode expérimentale. En démonstration : si je présente une logique exponentiel a des personnes utilisant une logique linéaire ils me dirons que mon raisonnement est faux, car pour dialoguer il faut parler la même langue. Le principal problème rencontré est que toutes les grandes œuvres ont été créé à l’aide de la méthode expérimentale. Ainsi on retrouve les textes de nos lois ( avec toute la richesse de ses jurisprudences ) et en particuliers les décrets des droits de l’homme créés à l’aide d’une méthode expérimentale qui soumis à une logique matérialiste se retrouve négocié, lors même que par le décret de 1789, il est écrit que les textes de lois ne peuvent être négociés sous peine de ne plus avoir d’état de droit. Chaque logique a sa force, mais seul la méthode expérimentale est caractéristique de l’homme.

b : Si vous voulez discuter vous êtes obligé de parler le même langage De fait vous obtenez trois langages logiques :
-a : le langage brute. Celui qui nous reste pour dialoguer avec un être conditionné.
-b : le langage animal, basé sur la comparaison, le matérialisme.
-c : le langage humain, réfléchit.


a : Comme a su le dire Paul Janet, on ne peut profiter pleinement de la musique en résolvant un problème logique difficile.
b : Des progrès de la science nous savons que des tâches précises se situent dans des zones précises du cerveau.
c : Comme encore l'a dit Paul Janet chaque science a sa philosophie.

De ces éléments j'en déduis que chaque philosophie a sa logique.
De ces éléments j'en déduis que pour chaque science, il va y avoir une logique particulière. Comme la logique c'est des mathématiques, j'en déduis encore que chaque science va avoir ses propres mathématiques.
Je propose que chaque science va avoir une zone particulière du cerveau qui aurait ses propres mathématiques ou un mécanisme particulier avec ses propres mathématiques. Et selon les circonstances, et l'habitude nous favorisons telle ou telle partie du cerveau ou tel mécanisme. Ainsi avec les mêmes données selon la partie du cerveau utilisée nous aurons des réponses qui pourront être contraires.
d : Sachant que si une partie précise du cerveau travaille d'une manière intense, elle occulte les autres parties ( La musique occulte le raisonnement comptable).
Le problème rencontré est de déterminer l'ordre d'importance des philosophies. Je pense qu'il est difficile de dire qu'une philosophie est fausse, à moins d'une évidence ; mais par contre il est important de déterminer un ordre dans les philosophies, pour par exemple refouler certains instincts issus du cerveau reptilien.

En exemple par analogie entre la physiologie et le fonctionnement du raisonnement :
. L’observation nous a appris que les objet métallique ont une bonne conductance thermique, donc se mettent assez rapidement à la température de l’air ambiant. Si je rentre en contact avec un objet métallique, la température du corps humain étant généralement supérieur à la température de l’air ambiant, nous allons sentir un objet froid. Car l’objet métallique va mieux diffuser la chaleur du corps humain que ne le fait l’air de la pièce. On peut dire qu’un contact métallique augmente l’échange thermique en physiologie.
Je pense qu’il existe des méthodes qui augmentent le fonctionnement du raisonnement dans telle ou telle logique, donc dans telle ou telle philosophie.

En autre exemple, prenons le cas imaginaire d'une personne honnête qui reçoit un ordre de son supérieur hiérarchique qui, selon l'avis et l'expérience de cette personne honnête, porterait atteinte à la nature humaine. Plusieurs philosophies peuvent influencer la décisions, je laisse le libre arbitre de chacun faire son propre classement.
a) L'ordre vient d'un supérieur donc de quelqu'un de théoriquement plus compétent. Pourquoi briser un plan de carrière en allant contre un ordre ? Le respect de la hiérarchie permet la cohérence sociale. Toute décision contraire individuelle est de l'égocentrisme, se croire supérieur, placer le raisonnement individuel au dessus d'un raisonnement collectif.
b) Peut-on placer un objet au dessus de la nature humaine, de l'être par définition? est-ce que l'action de chacun ne construit pas l'action collective? Peut-on faire passer son intérêt personnel au dessus des droits élémentaires de tout être humain.
En d'autres mots pour reprendre l'esprit de Victor Hugo dans 1789, suis-je un serviteur ou un courtisan?
André. p. j.
Concepts mathématiques ou philosophiques
Le but de cette présentation est de présenter la méthode de classement proposé, le contenue mérite certainement un travail plus approfondi.
Premier concept, un se rapprochant de l'instinct. D'expérience certains gestes sont presque innées. Pas de réflexion, raisonnement au feeling, les réactions sont simples, les calculs s'effectuent sur ce que l'on a juste devant les yeux. De simples additions pour calculer les volumes proches, qui nous effleurent. Philosophie myope.
Deuxième concept, concept marchant, l'échange, notion d'équivalence, le troc, les bilans, les calculs de rapport; Notion de plus, de moins, et de zéro.
Troisième concept, notion d'ensemble et d'harmonies, recherche de regroupements et d'associations d'idées. Mathématiques matricielles.
Quatrième concept étude des limites aux infinies fonctions dérivées intégrales. Philosophie qui se projette au loin et qui se plante dans un poteau juste devant le corps. Ce que je pense avoir démontré sur ce site
Cinquième concept j'ai du mal à le définir, mais c'est celui qu'utilise le tableau de Carnot, mais dans un cube. Ce concept est aussi un peu développé en probabilité. Pour abc = aaa,aab...ccc. Pour vrai, faux, incertain. Pour beau, laid, normal etc. chaque nouvelle valeur rend l'analyse plus complexe.
Sixième concept celui du conditionnement ou concept unitaire. La notion de mathématique est ramenée au plus simple, l’unité ; et va être représentée par une idée fixe. Ce concept s’applique sur une partie ou mécanisme du cerveau limbique et supprime toute réflexion en mettant l’être humain à l’état d’objet inanimé. Par exemple la répétition volontaire ou involontaire d’un objet qui peut être :-je vais être heureux.-je vais être libre.-je suis un esclave.-Dieu existe-Dieu n’existe pas.Ce conditionnement peut-être un auto-conditionnement ou un conditionnement imposé.
Septième concept celui que je présente sur mon site. C’est un système proportionnel avec un échelon exponentiel. Donc sans zéro.
Andre p.j.
Puisque la philosophie est la recherche des premières causes et des premiers principes ; et puisque le premier principe de tout raisonnement est le principe d’identité, plus connu sous le nom de « omne subjectum est proedicatum sui », le principe qu’une identité ne peut varier dans un raisonnement ; et puisque encore le zéro représente le néant par définition. Je ne pense pas qu’on puisse accorder au zéro un contenu autre que le néant.
Andre p.j.

Les pensées étant bornées dans leur usage, l'âme (ou ce que vous voudrez ) a trouvé le moyen de les prolonger ou de les compléter par le moyen des idées.
Par la pensée consciente, on tient note des idées les plus rapides et les plus délicates. Ainsi les pensées sont centuplés par la réflexion, et peuvent arriver à la dernière précision ; de plus, chacun peut se créer à lui-même des idées nouvelles pour l'ordre particulier des pensées qu'il se propose.
Quant à l'usage des idées, les principales règles sont celle-ci :
1° l'observateur doit connaître ses idées, par exemple, savoir exactement quel est l'influence de son cerveau a :reptilien, b :animal comparatif ( matérialisme ), c : ou évolué ;
2° il doit chercher à se les rendre le plus commodes en les appropriant par quelques corrections à l'usage auquel il les destine ;
3° il doit les vérifier ;
4° il doit connaître enfin et apprécier les erreurs dont elles sont susceptible.
Libre adaptation, de A.p.j., au cerveau , des écrits de Paul Janet sur les instruments.

Texte relatif à la pensée universelle de :Enuresiaque :
« qu'est-ce que la pensée ? On ne vas pas rappeler la différence entre le Logos et le Kosmos. L'individu pensant, dont l'humain n'est qu'un spécimen, pense le monde en fonction de sa "capacité de compréhension du monde". Cette capacité est évolutive, cumulable et surtout transmissible, tient disons que l'image allégorique de cette "capacité" est l'Âme de l'individu. Pour les ceusse qui ont une kabbale au Canada, ils auront reconnu l'allégorie. La pensée individuelle passe par des paliers qualitatifs, par des niveaux d'éveil, par sa capacité cumulative la pensée s'insère dans une pensée collective qui se construit sur des millénaires. Cette pensée cumulée, passe elle-même par des paliers qualitatifs, collectivement l'Humanité s'ouvre à de nouveaux niveaux d'éveil, et la Malkhout met les bouts, pour s'envoler vers un keter plus frais :o). Il y a donc la pensée individuelle à un certain degré d'éveil, et il y a une pensée collective, elle-même à un certain degré d'éveil. La pensée universelle, est celle où l'éveil serait totale, où ayant pris conscience que l'infini (Ein Soph pour les kabbalistes) contient les conditions du fini, on est capable de connaître et de maîtriser ces conditions. Ces conditions sont celles d'un Ordre Naturel des choses, qui ne manifeste aucune volonté particulière et qui est l'ordre des possibles. C'est cet ordre là que les scientifiques explorent et tentent de formaliser. Dans ces conditions Nécessaires que le Hasard peut réunir il y a une probabilité non nulle d'aller vers l'émergence de systèmes plus complexes, où notamment de l'inerte on passe au vivant, du vivant au pensant, puis du pensant à différents degrés d'éveil. A ce moment je reprends l'intuition de Christian de citer Fukuyama et sa thèse sur " La fin de l'Histoire ". Dans ce processus de complexification croissante, il n'y a aucune obligation à ce que les systèmes se complexifient davantage, ils ne le peuvent que si les conditions nécessaires sont réunies par le hasard ou ... une volonté créatrice. Ainsi chaque pallier peut être " La fin de l'Histoire " mais au niveau de l'éveil total, ce n'est pas exactement celui de " La fin de l'Histoire ", mais celui d'un "éternel Retour", celui d'un recommencement. L'ordre Naturel des Choses est celui de l'équilibre dynamique de systèmes plus ou moins complexes, soumis à l'entropie, ils risquent à tous moments de retourner au non-être, un non-être qui n'est pas le néant, mais la base chaotique d'un nième recommencement. Cet infini est là de tout temps, il est visible de qui sait s'éveiller pour placer son entendement au bon niveau de similitude, mais on le sait bien pour la majorité d'entre-nous :" La lumière luit dans les ténèbres, mais les ténèbres ne l'ont point reçue" » :Enuresiaque.

réactions ou commentaires

Sur le forum google ce texte a été commenté d’une manière intéressante par respect pour les auteurs je me contente de dire où se trouve l’information. Plusieurs choix de classements et de modèles mathématiques sont proposés et discutés.

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